-
Recent Comments
Onglets menu
Il n’existe pas plus délicat et coloré que les ailes d’un papillon. Il suffit d’observer la créature à l’œil nu pour s’en convaincre. Mais que dire alors d’une vue macro de leurs si fragiles petites ailes ?
- Un Nikon D200, avec un flash SB- 400
- Tubes d’extension Vivitar
- Adaptateur Nikon T-Mount
- Télescope T-Mount avec déflecteur de lumière
- Pentax slide copier lens
Tous ces éléments combinés assurent déjà un rendu bluffant. Cependant, le principal acteur de cet exploit photographique s’avère être le rail automatique de prise de vue macro. Développé par Cognisys, ce rail est connu pour sa précision jusqu’à 0,01 mm. Cependant, comme autre prouesse, non seulement peut-il se contrôler lui-même, mais également l’appareil photo qui y est raccordé. Un outil aussi perfectionné convient aux besoins de précision des musées, des universités, mais également des joailliers, car il intègre automatiquement une procédure de stacking.
“Qu’est-ce que le stacking ?” Habituellement, lorsque vous prenez une photo d’un sujet, l’appareil se focalise toujours plus sur une partie de l’image que le reste. Sur la photo, cette partie sera nette tandis que le reste autour sera flou. Le stacking consiste à prendre plusieurs clichés d’un même produit à la même position et sous un même angle, mais avec des mises au point différentes. A chaque fois que l’appareil prendra une photo, une partie différente de l’image sera nette. En combinant ensuite les différents résultats à l’aide d’un logiciel, voire à la main (ce qui prend beaucoup plus de temps, bien sûr), on peut alors obtenir un « composite » (un assemblage de clichés) au rendu totalement net.
Sans stacking, la mise au point à été faite sur les perles du fond. Les perles devant sont donc floues.
Avec le stacking, toutes les perles sont nettes.
Source des photos: ScanCube
En utilisant cette procédure, Gledhill a ainsi été capable de produire une collection de motifs prismatiques au rendu saisissant, dont voici quelques exemples :
Sources des photos: https://www.flickr.com/photos/13084997@N03/
Si l’on compte le nombre de français faisant leurs courses en ligne (21% des internautes en 2013), on réalise qu’Internet et le monde numérique ne cessent de prendre de l’importance dans cet aspect de notre vie quotidienne. L’agence DigitasLBI révèle que 92% des Français équipés d’Internet se renseignent avant de sortir faire leurs achats, et d’après une étude Ifop/Borial, 69% des possesseurs de smartphones ou tablettes préparent leurs courses en ligne avant de passer en magasin. Un tiers des internautes français se connectent à Internet avant de faire leurs courses, et parmi eux deux tiers de ceux possédant des tablettes ou smartphones.
On voit bien que le mode de consommation des Français a changé, grâce aux innovations constantes d’Internet. Les grandes enseignes n’exposent plus seulement leurs produits dans les larges vitrines de leurs magasins, mais privilégient aujourd’hui de plus petites lucarnes… les écrans de smartphones, tablettes et ordinateurs, fenêtres virtuelles sur lesquelles s’affichent les pages de leur site internet. Plus populaires et largement diffusées, ces “vitrines numériques” doivent être aguicheuses, vendeuses et accessibles en permanence. La qualité des images affichées, et donc des produits « exposés », est ainsi primordiale aux yeux des concepteurs et régisseurs des applications et sites web. Il faut des clichés fins et fidèles au produit, mais également « légers », peu encombrants pour le site ou l’application, pour que le temps d’affichage d’un produit ne se transforme pas en temps d’attente pour l’utilisateur.
Cela tombe très bien, car ScanCube est la solution à ce besoin.